Tante Adrienne et Louise lui ont rapidement appris à réparer, mais elle a appris à coudre. La vocation, l'ambition (elle ne voulait pas être couturière, mais "une grande couturière") et son surnom ont été forgés: ils ont été les premiers à l'appeler "Coco". . Au fil du temps, cette ambition, qui la plaçait sur le podium le plus élevé du monde, ne suffisait pas. Il a continué à grandir dans son esprit tourmenté et mégalomane, aussi peut-être, pour un tel corps si souvent. Ni les chapeaux, ni les vêtements, ni les parfums, ni être une femme riche en pleine jeunesse. Elle voulait atteindre le cœur du pouvoir et connaître le pouvoir dont elle avait besoin d'hommes. D'abord Étienne Balsan, officier distingué de la cavalerie légère; puis Arthur Boy Chapel, un beau joueur de polo anglais, dont il est tombé amoureux; plus tard, le duc de Westminster, cousin du tsar; Igor Stravinsky; Dimitri de Russie; Hans Gunther von Dincklage, un bel officier de la Gestapo allemande (elle l'appelait "Spatz", moineau).